Entre les deux derniers des play-down, vainqueurs de leurs deux premiers matchs, l’intensité va encore monter d’un cran dans la lutte pour la survie ce samedi soir à Vanpoulle.
Même si on n’en est qu’au début du combat, l’opération maintien est en bonne voie pour le CVEC après un deuxième succès au forceps face au Plessis-Robinson, mercredi soir. Et même si trois points étaient espérés, pas question de faire la fine bouche alors que cette rencontre aurait pu bien plus mal tourner.
« Vu la physionomie du match, on ne va pas cracher sur ces deux points pris face à une équipe de Plessis qui est difficile à jouer, confirmait Gabriel Denys, l’entraîneur cambrésien. On a moins bien travaillé sur le block, on n’a pas été assez agressif au service. Mais au final, ces deux points sont très importants quand on voit les résultats des équipes qui nous entourent (victoires pour Toulouse et Cannes). Ces play-down, c’est un mini-championnat où il faut être de mieux en mieux à chaque match. Et en jouant tous les trois jours, la récupération va être très importante. »
« Rester cohérent »
On espère qu’elle aura été bonne car c’est une autre énorme bagarre qui se profile avec la venue de Cannes, ce samedi, le seul relégable et principal concurrent direct à l’heure actuelle. Un match qui n’aura rien à voir avec ceux disputés lors de la saison régulière. Après moults rebondissements, toutes les recrues cannoises de l’hiver ont été finalement validées (le pointu Jimenez en particulier), ce qui a profondément changé le visage de cette équipe.
Gabriel Denys, Cannes est l’équipe la plus forte de ces play-down. PHOTO CHRISTOPHE LEFEBVRE – VDN
Olivier Delsaux (CLP)Publié: 15 Avril 2022 à 16h00